Gestion mensuelle du 5 février 2017

Gestion Réserve Brun Chêne – dimanche 05/02

Et c’est reparti ! La pluie de ces derniers jours fait trêve, juste le temps, pour cette première gestion cuvée 2017, de nous retrouver entre fidèles habitués : une partie du comité plus André, Julien et Edouard.

Nous décidons de poursuivre les travaux entamés fin 2016 :

  • Finaliser la recharge du sentier créé l’an dernier pour longer l ’UG11 les pieds au sec,

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  • Continuer la lutte anti-Buddléas sur la grande esplanade.

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Il reste encore suffisamment de broyat le long du sentier pour en étaler une bonne couche tout au long de l’étroit sentier, ce que nous faisons à deux.  Nous dégageons le broyat de la lisière d’arbustes et chargeons à fond la brouette.  Il suffit ensuite d’étaler la belle matière au râteau et de régler en passant leur compte à quelques ronces qui essaient de traverser en catimini …

Le reste de l’équipe s’attaque courageusement aux nombreux buddléas qui bordent l’esplanade du côté de la ligne SNCB.  Se pose le problème de leur stockage et de leur élimination.  Ces fichus arbustes sont en effets dotés d’une force vitale qui leur permet de repartir rapidement si nous n’y prenons garde !

Ramassage de quelques « crasses inertes » à moitié enterrées et couvertes de mousse.  Edouard a découvert un ancien pneu de taille et de poids respectables.  Il le débarrasse de la boue argileuse qui l’encombre, nous le poussons un peu plus loin sur l’aire entre des arbustes, où il servira peut-être de refuge à la petite faune.

Philippe et Sophie viennent nous rejoindre, nous discutons entre autres d’une prochaine visite de la réserve, lors de l’AG de la Régionale de Natagora.

Il est passé midi, nos bras crient grâce … on ramasse encore vite quelques inertes qui gâchent la vue devant le talus et suite au prochain numéro !  Merci à tous !

Prochain rendez-vous : le dimanche 5 mars 2017.

Nous referons alors le tour des mares temporaires, à débarrasser de leur végétation envahissante, histoire de bien accueillir nos petits crapauds au sortir de leur repos hivernal.

Eveline KIEVITS – co-conservateur

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Photos : JP COQLET

Gestion mensuelle de la réserve du dimanche 4 décembre 2016

Gestion Réserve Brun Chêne – dimanche 04/12

Temps glacial et sec pour notre rendez-vous dominical de travail à la Réserve.  Malgré l’alerte « verglas » lancée à la radio, nous nous retrouvons à 10 pour la dernière gestion de l’année 2016 !

Le gel ayant figé les mares, il nous est impossible de poursuivre l’arrachage des Massettes et petits ligneux.  Le sol est durci lui aussi, emprisonnant les racines des Saules, Bouleaux et Peupliers que les pioches n’arrivent pas à déloger. Nous décidons dès lors de nous partager en deux équipes de cinq qui vont consacrer leurs forces à deux opérations « sportives », qui nous réchauffent rapidement :

  1. Haro sur les Buddléas (pas indigènes et très invasifs) qui se sont joyeusement répandus un peu partout sur l’esplanade, mais ne résistent pas aux ébrancheurs et scies suédoises. Le haut tas de branchages témoigne de l’efficacité des participants !

Le Buddléa (Buddleja davidii – originaire de Chine) est appelé à tort « Arbre à papillons » parce que l’odeur de ses nombreuses fleurs attire les papillons … mais ceux-ci ne s’y reproduisent pas : leurs chenilles ne peuvent en effet se nourrir de ses feuilles qui renferment des molécules toxiques.  Il produit chaque année des millions de graines qui ne demandent qu’à germer un peu partout.  On en rencontre beaucoup le long des voies ferrées, couloirs de dispersion à partir desquels les graines colonisent les habitats voisins, comme la Réserve …

  1. Restauration du sentier créé en avril dernier avec l’aide de Solidarcité. Ronces et cépées de ligneux (= touffes de rejets issus de bourgeons présents sur la souche d’un arbre qui a déjà été coupé) ont en effet tendance à le refermer.  Houe, pioche, ébrancheurs et sécateurs rétablissent heureusement la situation.  Nous arrivons même à étendre une partie de 2 tas de broyat (gelés seulement en surface) laissés sur place après l’entretien printanier effectué par la SNCB.

Nous nous quittons un peu après midi … Saint Nicolas a déjà commencé sa tournée !

Grand merci à tous les valeureux travailleurs de la nature !!!

Nous vous donnons rendez-vous pour la suite des opérations le dimanche 5 février 2017.  Il sera temps alors de revenir vers les mares, avant le retour de nos petits crapauds !

Eveline KIEVITS – co-conservateur

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Photos : P. HECQ

Gestion mensuelle de la Réserve Naturelle du Brun Chêne – dimanche 06/11

 

Gestion mensuelle Réserve Naturelle du Brun Chêne – dimanche 06/11

La pluie nous a accordé une trêve pour notre première gestion mensuelle, dimanche 6 novembre ! Et le vent froid était supportable.  Nous étions 10 courageux défricheurs, dont nos petits-enfants Eliott (10 ans) et Elodie (7 ans).

Nous nous sommes concentrés sur les mares temporaires où pointent déjà les petits saules de l’année et, nouveauté, des massettes (Typha) qui ont tendance à étendre leurs rhizomes. Mais aussi sur l’esplanade du fond : de nombreux petits ligneux dont des Buddleias tentent déjà de s’y réimplanter.  Vu la sécheresse de ces derniers mois, les racines se sont enfoncées profondément et la pioche est bien utile …  Les enfants coupent et arrachent avec une belle efficacité.

Une petite équipe menée par Etienne a choisi de s’attaquer à la tronçonneuse aux grands Buddleias et aux Ronces qui encombrent le talus et le trottoir devant la réserve. Le résultat est la hauteur de leur acharnement : le trottoir est réapparu et le talus est vierge de tout Buddleia !  Les canettes et autres déchets cachés dans les broussailles ont déjà été emportés par le service Propreté de la Ville que nous saluons au passage et remercions encore pour la bâche « anti-déchets » et leur promptitude à évacuer les ordures encore quelquefois abandonnées aux abords du talus.

Avant

 

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Après

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Un tout grand merci à tous les participants !

Date de la prochaine intervention : dimanche 4 décembre, à noter déjà dans vos agendas !!!

Eveline KIEVITS – co-conservateur

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Photos : J-P COQLET & E. DAYEZ

Gestion de la Réserve Naturelle du Brun Chêne le vendredi 28/10 – Contribution de GSK

Gestion de la Réserve Naturelle du Brun Chêne le vendredi 28/10

La nature s’endort progressivement mais dans la Réserve c’est le moment de reprendre travaux et gestions qui ne risquent plus maintenant de trop déranger faune et flore, notamment dans les mares.

Vincent Swinnen, deux travailleurs de Natagora et une équipe de 18 personnes de l’entreprise GSK ont ainsi travaillé la journée du vendredi 28 sur deux sites de la Réserve.  GSK a mis au point un programme de bénévolat destiné à encourager un changement de société : un jour de congé (appelé Orange Day) est ainsi offert aux travailleurs volontaires qui souhaitent le consacrer à un projet de leur choix.

Le groupe s’est partagé en deux équipes : l’une d’elles, encadrée par Vincent et Jean-Pierre C. s’est consacrée à l’amélioration du sentier créé en avril dernier avec l’aide de Solidarcité.  En se servant de billes de chemin de fer tronçonnées en 2 par les ouvriers de Natagora, ils ont perfectionné le haut du sentier qui était trop acrobatique et consolidé le côté du versant avec des troncs de bouleaux.  Le confort de montée en est grandement amélioré !  Il ne faut plus s’accrocher aux arbres pour atteindre le plateau de l’UG 7.  Il restera à adoucir la descente par quelques marches supplémentaires pour disposer d’un sentier sûr et pratique permettant d’effectuer un circuit intéressant lors des balades et visites guidées.

L’autre équipe a nettoyé la prairie « à papillons » et la future pelouse calcaire de l’UG 7, que saules et bouleaux avaient à nouveau envahie.  Armés d’outils manuels (ébrancheurs, râteaux, …) ils ont aidé les deux ouvriers de Natagora à rassembler en meule les ligneux coupés à la débroussailleuse.  Les espaces sont à nouveau bien ouverts.  Nous devrons bientôt décider de l’avenir de ces nombreux tas.  Utiles comme refuge pour la faune, il ne faut cependant pas trop les multiplier pour ne pas encombrer les milieux que nous souhaitons dégager !

Après ces durs et fructueux labeurs, leur journée à la réserve s’est terminée par une visite guidée de la réserve : après un petit historique, je leur en ai fait découvrir les principaux milieux et souligné l’importance des gestions si nous voulons les conserver.  Un milieu abandonné devient rapidement forestier …

Eveline KIEVITS – co-conservateur

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Photos : J-P COQLET

Visite des conservateurs à la RNBC le 12 septembre 2016

 

Notre visite de « rentrée » à la Réserve s’est déroulée sous le signe de la chaleur !  Nous nous serions crus au bord de la Méditerranée plutôt que près de l’Eau d’Heure …

Première constatation, pas de gros déchets sur le parking devant la réserve, juste des traces hélas bien visibles des visiteurs de la carrière inondée, qui apprécient une bonne trempette par cette canicule mais laissent des traces peu agréables de leur passage … Une solide éducation de nos jeunes au respect de LEUR environnement reste vraiment indispensable.

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Par contre pratiquement pas de déchets dans la Réserve, que voilà une bonne nouvelle !!!

Deux blocs de brèche calcaire ont été déplacés à gauche du talus, nous n’avons cependant pas relevé de trace de passage de l’autre côté.

Nous avons profité de notre visite pour faire un petit inventaire des travaux éventuellement à réaliser lors de gestions futures.

Premier arrêt en face des petits fours à chaux (Fauconnier) proches de l’entrée. Ils disparaissent lentement derrière une végétation dense où dominent les ronces.  Il serait judicieux d’éliminer ou tailler aussi quelques arbres, afin de rendre ce lieu intéressant, plus convivial pour les visites guidées. Limiter aussi la végétation qui pousse au-dessus des fours, elle risque en effet de déstabiliser à la longue l’appareil de pierres.

Autre observation : il reste de nombreux buddleias, malgré l’arrachage intensif effectué par l’antenne Solidarcité de Jodoigne en avril dernier.

… Bonne nouvelle !  Le Criquet à ailes bleues est bien présent sur l’esplanade, déjà sur le sentier après les fours à chaux Fauconnier, de quoi nous motiver à maintenir certaines zones bien dégagées sur le site qui présente en outre pas mal d’espèces intéressantes liées aux milieux calcaires : Erythrée petite centaurée, belles stations d’une élégante graminée : Calamagrostis epigejos, l’odorante Ditrichia graveolens et une petite « Dent de lion », sans doute Leontodon hispidus.

Dans le ciel, un Héron passe lentement et la Bondrée apivore déjà signalée le 7 août dernier tournoie avant de descendre vers les arbres qui bordent l’Eau d’Heure.

Les ligneux situés devant la falaise côté est (peupliers américains, bouleaux, saules) ont recommencé à s’étendre.  Ne faudrait-il pas penser à dégager le pied de ce bel abrupt ?

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Comme il falla it s’y attendre, vu la sécheresse des dernières semaines, les mares temporaires se sont toutes asséchées, laissant voir un fond argileux craquelé.  La mare « au camion » est à présent bordée de massettes (ça c’est chouette !).

Des vieux bois d’une précédente gestion ont été stockés sur le fond de la mare située derrière les fours à chaux monumentaux, ce serait bien de les évacuer avant que l’eau n’y revienne.

Il reste par contre de l’eau dans la mare du côté de la falaise ouest, jouxtant la ligne SNCB. Nous y observons de nombreux alevins, dont certains font plus que 3 cm (s’agit-il de vairons ? Un risque pour les futurs têtards ?).  La phragmitaie continue à s’y étendre et quelques plantains d’eau sont encore en fleurs.  De jolies libellules virevoltent au-dessus de la surface : aeschne bleue et d’autres, couleur bleu ciel ou rouge, à identifier l’an prochain !

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La grande phragmitaie, vers le fond de l’esplanade, continue à s’étendre.  Nous avons entendu quelques « ploufs »            de grenouilles vertes à notre approche de la mare permanente, également visitée par de grandes aeschnes bleues.  Plus de trace de « notre » rousserolle effarvate …

L’eau résurgente de la falaise continue à s’écouler malgré la sécheresse, inondant l’espace entre les deux phragmitaies.  Une algue le colore d’un vert vif. Des massettes commencent à s’y installer.

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Tout au fond de l’esplanade, quelques criquets à ailes bleues sautent devant nos pas, ouvrant leurs ailes bleu ciel l’espace d’un instant.  Il reste encore beaucoup de petits ligneux à enlever, si on veut leur garder un milieu accueillant.  Les onagres, carlines et inules conyze terminent leur floraison, mais de minuscules érythrées petite centaurée montrent encore de pimpantes fleurettes roses.

En tout, une douzaine de plantes étaient encore fleuries.  En plus de celles déjà citées : mouron rouge, vesce commune, picride fausse épervière, millepertuis, épilobe à petites fleurs, eupatoire chanvrine,

La végétation repousse intensément le long du sentier qui longe la voie de chemin de fer, il y a hélas beaucoup de ronces et de buddleias, mais aussi des épilobes (en épi et hirsutes), du mélilot blanc, quelques frênes.  Mais heureusement pas de renouée du Japon !!!

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Le sentier latéral aménagé avec Solidarcité est toujours bien visible, garni de broyat … mais gare aux ronces qui ont tendance à vouloir s’y implanter !  Un petit coup de houe ne sera pas superflu !

Nous avions craint que la tranchée de drainage destinée à éviter l’inondation permanente du sentier ne fasse trop baisser le niveau de la mare juste à côté (celle où niche la rousserolle !), mais l’eau n’y coule que faiblement pour le moment et son fonds est tapissé de graminées et de véroniques des ruisseaux.

Nous arrivons au sentier construit en avril avec une équipe de jeunes de Solidarcité.  La passerelle de traverses SNCB offre un passage confortable par-delà le fossé.  Le sentier construit dans le versant est praticable mais un peu raide au début et surtout vers le dessus : un remaniement est à prévoir dans les prochains mois (création de paliers, reconfiguration de la partie supérieure).  Quelques ronces le traversent au ras du sol et un saule est tombé en travers.  Il a été tiré sur le côté mais il faudra le tronçonner.

Arrivés en haut du sentier, à l’entrée de la prairie « à papillons », une mauvaise surprise nous attend … les souches de saules et bouleaux coupés lors des gestions en début d’année et par les jeunes en avril ont redonné de denses cépées, refermant le milieu.  Même constatation pour la future pelouse calcaire … il faudra revenir tout bientôt avec de puissantes débroussailleuses, tailler plus bas et si possible dessoucher, si on veut arriver à garder ouverts ces deux mileux …

Nous descendons par le sentier herbeux qui nous reconduit à l’esplanade, d’où nous repartons le long de la ligne 132.  Plus loin, la mare profonde à droite du sentier laisse aussi entendre quelques « ploufs» de grenouilles …

Un peu plus loin, la station de petites pyroles se porte bien, petites feuilles rondes bien dressées sur le côté du chemin.

La mare « des pêcheurs » au bout de la Réserve offre hélas un spectacle assez désolant : eau glauque et surface mate, déchets épars.  La petite mare à droite des gros charmes est à sec.  Quant au roncier, il n’y a qu’un mot pour le décrire : impénétrable …

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Nous terminons notre exploration par le sentier dégagé avec l’aide des scouts en mars.  Impeccable !

Juste avant de remonter vers la rue Bois du Curé, le tuyau orange qui emporte plus loin les eaux usées de la rue offre une vue peu esthétique : la terre ramenée autour de l’évacuation s’est en effet tassée et l’odeur du lieu n’est toujours pas très agréable … Essayer d’y faire des plantations-écran ?

La nature pionnière de ces anciennes carrières ne se porte donc pas trop mal.  A nous d’y intervenir judicieusement et par petites touches pour y accueillir un maximum de biodiversité, toutes les bonnes volontés sont les bienvenues !!!

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Message d’utilité publique…

Initiative de la Ville de Charleroi

Monsieur l’Echevin de la ville de Charleroi a souhaité apposer des bâches avec un message d’utilité publique dans des endroits stratégiques de la Ville de Charleroi.

Dans ce contexte, il a pensé à notre projet et asbl pour les abords de la Réserve Naturelle du Brun Chêne.

La ville de Charleroi a au départ fait confectionner trois modèles :

  1. L’espace public n’est pas un lieu pour uriner !
  2. Direction les poubelles publiques pour les déchets !
  3. Pour les chiens, merci de recourir au canisite à disposition ou aux sacs à déjections canines !

L’entrée de notre réserve arbore dorénavant le 2e modèle ! L’idéal eût été qu’une poubelle publique soit présente aux abords du site ou que le message renvoie vers les parcs à conteneurs. Mais chaque chose en son temps.

P. Hecq

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